La 1ère fois que j'ai mis un commentaire sur le blog, j'avais écrit que je pleurais de voir ce qui se passait, c'ètait il y a une quinzaine de jour je pense..Mais c'était au second degré, pour dire que poitiers était mou, c'était incontestable.
hier, je ne pouvais pas être sur le site pour raison personnelle. je n'ai donc pas participé à cette folle journée dont tout le monde parle tant.
En voyant les vidéos, en entendant ce mouvement de foule qui s'est levé, là, cette fois, j'ai vraiment pleuré.
j'ai pleuré pour moi, par ce que depuis ce 23 mai, je n'ai de cesse d'agir, de chercher ce qui va se faire pour que les autres cédent..;parce que comme tous la fatigue l'emporte mais je je me battrais jusqu'au dernier instant pour les faire céder car j'y crois dur comme le roc depuis le 23 Mai.
j'ai pleuré car , sanguine dans l'âme, le mouvement ne m'a pas toujours convenu..Je suis plus proche dans mes actions de ce qui s'est passé ce 22 juin que des jours précédents.
J'ai besoin de feu, de flamme, de crier, hurler, pleurer pour défouler cette trahison du 23 Mai. J'ai besoin de monter sur les toits, m'enchainer, séquestrer pour crier hurler mon dégoût.
Mais surtout, j'ai pleuré car je suis fière de voir ce qui s'est fait hier..je veux que maintenant nous restions dans ce mouvement, jours et nuits s'il le faut mais ne pas plier jamais, même sous la menace...
Je veux remercier les OS ( sauf les lâcheurs bien sûr) de se battre, de s'impliquer, de défendre ceux qui en ont besoin.
Je veux que Demain soit le jour du renouveau, celui où Poitiers n'est plus le gentil Poitiers..Le jour où Poitiers défend son honneur, sa dignité, sa vie , son âme...
Spéciale dédicace au dirlo, j'aimerais que vous aussi, vous vous arrêtiez 2 secondes et que vous réfléchissiez...Est ce qu'en ce moment vous vous sentez bien, que le discours que vous menez pour le projet, est ce que cela vous êtes d'accord.?..Si vous refléchissez un temps soit peu, vous nous laisserez défendre notre vie, notre travail, notre dignité...
Merci de votre soutien à venir quand vous aurez réfléchit monsieur le Dirlo